À côté du point culminant de l''île de Grande Canarie, le Morro de la Agujerada, à 1956 mètres d''altitude, ouvre ce balcon qui donne sur le Teide depuis le sommet d''un immense triangle, situé au centre de la Une île qui s''étend du massif de Tamadaba, dans le dernier plan au nord-ouest, au massif de Amurga, au sud-est, selon un arc visuel qui n’est pas englobé à la fois et qui englobe près de la moitié du cercle insulaire.
Une mer de pins, repeuplée dans les années 50 du XXe siècle, Los Llanos de la Pez et Pargana, précède la mer bleue de l’Atlantique. Entre eux s''interpose un scénario montagneux qui, dans une succession d''avions, marque la séquence du relief insulaire. Entre ses plis, Tejeda, au pied de la Roque Nublo, qui apparaît droit comme un axe intemporel; Le village de San Nicolás et Mogán, qui touche déjà le rivage.

Plus au sud, les Tirajanas. À partir de là, il y a trois immenses bassins érosifs où l''eau a démantelé le sommet central au cours des millénaires, depuis sa formation pendant la période pliocène, ainsi que les matériaux émis lors de l''effondrement du volcan Roque Nublo.
Une citation de René Verneau, un anthropologue français de la fin du 19ème siècle, dit de ce sommet: "Il est sillonné de toutes parts par de profondes dépressions et hérissé de pics volcaniques ... Cet endroit si tourmenté, avec ses grands rochers noirs et ses immenses fissures qu''ils partent de là pour diverger dans toutes les directions, cela aurait l''air plus sauvage si ce n''était presque complètement recouvert de végétation. "